Skip to main content

Commandez avant le 14/12 à 23h59 pour une livraison avant Noël

banner_image

Qui suis-je ?

Je m’appelle Mégane, et derrière chaque doudou Nono sur l’eau, il y a mes mains, mon histoire, et un besoin presque vital de créer.


Mon parcours ne suit pas une ligne droite : un master d’Histoire, plusieurs années dans la vente, un passage par l’entrepreneuriat en tant qu’audiotypiste, puis un poste de directrice de boutique.


Et au milieu de tout ça… le crochet, est apparu il y a trois ans, comme un refuge.

Créer est pour moi un instant de sérénité. Un moment où le monde se pose enfin. J’aime voir la matière se transformer, sentir quelque chose naître entre mes doigts, retrouver du tangible à l’heure où tout devient immatériel.

Je suis patiente, douce, bienveillante… têtue aussi, d’après ceux qui me connaissent. Et ce qui m’anime, c’est l’idée de fabriquer plus qu’un objet : un compagnon de vie, un confident, un petit repère contre lequel on se blottit le soir en rentrant de l’école. Un morceau de douceur rassurante.

banner_image

Mon histoire avec le crochet

Le crochet m’a été transmis par ma maman.

Au début, je bricolais des pochettes et des vêtements en coton… que je n’ai, soyons honnêtes, jamais vraiment terminés. Quelques débuts de pulls dorment encore dans mes placards.

Quand mon compagnon est tombé en dépression, j’ai crocheté frénétiquement pour tenir debout, pour occuper mes mains et apaiser mes pensées. Puis est venu mon burn-out. Et là, au milieu du chaos, une idée s’est mise à briller : fabriquer des doudous.

Cette idée m’a donné le courage de quitter mon emploi et de renouer avec un univers professionnel aligné avec mes valeurs.

La première peluche que j’ai crochetée a tout changé. C’était une tortue, pour ma petite sœur qui déménageait loin. Je voulais qu’elle garde près d’elle un objet fait de mes mains, un symbole silencieux lui soufflant que je suis toujours là, malgré la distance.

À partir de ce moment-là, les doudous sont devenus une évidence.

banner_image

La naissance de Nono sur l'Eau

J’ai toujours eu un lien très fort avec les doudous. J’ai encore le mien, et même adulte, il m’apaise. Un doudou, c’est magique : un petit morceau de textile qui n’a de sens que pour une seule personne, mais dont l’importance est immense. Je voulais proposer des doudous tout doux, en peluche, comme celui qui m’accompagne depuis l’enfance. Je voulais des doudous qui ressemblent au mien, des vrais compagnons.

Et puis il y a la mer.

Je suis fille de Bretons, de marins, de navigateurs. J’ai grandi sur l’eau. J’ai passé mes week-ends et mes vacances à naviguer, et j’ai vécu deux ans autour de l’Atlantique sur un voilier avec ma famille. L’océan est ma maison, mon allié, ma source d’émerveillement.

Ses trésors, ses mystères, ses créatures minuscules ou gigantesques… tout cela me fascine encore. La mer, c’est la douceur et la force, la lenteur et l’infini.

Créer un univers dédié aux doudous marins s’est imposé naturellement.

banner_image

Ma manière de travailler

Quand c’est fait main, c’est fait avec intention.

Chaque doudou naît pour quelqu’un. Je ne fabrique jamais "pour fabriquer". Je fabrique pour une histoire, pour une famille, pour un enfant qui un jour cherchera ce doudou du bout des doigts en s’endormant.

Le temps passé à crocheter est un cadeau silencieux : le temps d’un humain offert à un autre humain qu’il ne connaît pas encore. L’artisanat permet d’être juste, sincère, unique. Un doudou n’est jamais parfaitement identique — et c’est une richesse.

Panier

    Votre panier est vide